C’est ce que répondent “nos faiseurs d’opinions” à ceux qui se mobilisent, écrivent, et manifestent lorsque l’inacceptable se manifeste dans la société réunionnaise.
Il y a un an, des policiers commettaient “par erreur” d’invraisemblables brutalités envers une famille qui n’avait rien pourtant à se reprocher : porte ouverte à coups de feu, mobilier saccagé, femmes et enfants braqués.
En mai dernier, les gendarmes entraient sans autorisation chez les parents d’Aafifoudine Aboudou. Au menu : suspicion et (...)
C’est ce que répondent “nos faiseurs d’opinions” à ceux qui se mobilisent, écrivent, et manifestent lorsque l’inacceptable se manifeste dans la société réunionnaise.
Il y a un an, des policiers commettaient “par erreur” d’invraisemblables brutalités envers une famille qui n’avait rien pourtant à se reprocher : porte ouverte à coups de feu, mobilier saccagé, femmes et enfants braqués.
En mai dernier, les gendarmes entraient sans autorisation chez les parents d’Aafifoudine Aboudou. Au menu : suspicion et (...)