Arrivée au terme de la première décennie de ce troisième millénaire, notre société se doit de faire un point d’étape sur la période écoulée et de tracer sa route pour les années qui viennent : disons tout de suite qu’elle n’est pas au bout de ses peines. L’offre idéologique se réduit à quelques produits-types dont nos camelots officiels nous jurent qu’il est impossible de se passer, et qui pourtant ne font qu’ajouter à la cacophonie et au désordre.
Les uns répètent : « La mondialisation est incontournable, la (...)
Arrivée au terme de la première décennie de ce troisième millénaire, notre société se doit de faire un point d’étape sur la période écoulée et de tracer sa route pour les années qui viennent : disons tout de suite qu’elle n’est pas au bout de ses peines. L’offre idéologique se réduit à quelques produits-types dont nos camelots officiels nous jurent qu’il est impossible de se passer, et qui pourtant ne font qu’ajouter à la cacophonie et au désordre.
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