Avancer, tenir un cap était devenu plus difficile, plus douloureux, quand, aux coups venus du dehors, s’ajoutaient les déchirements du dedans. Lorsque l’on utilisait entre camarades des moyens que l’on utilise — ou que l’on n’utilise parfois même plus — contre les adversaires. Lorsqu’il s’agissait de « koupe le kolé » à l’un-e ou l’autre. Lorsque l’on ne tendait pas la main, ou lorsque les mains tendues étaient repoussées. Lorsque des invectives étaient proférées à l’encontre de camarades, dans leur dos. (...)
Avancer, tenir un cap était devenu plus difficile, plus douloureux, quand, aux coups venus du dehors, s’ajoutaient les déchirements du dedans. Lorsque l’on utilisait entre camarades des moyens que l’on utilise — ou que l’on n’utilise parfois même plus — contre les adversaires. Lorsqu’il s’agissait de « koupe le kolé » à l’un-e ou l’autre. Lorsque l’on ne tendait pas la main, ou lorsque les mains tendues étaient repoussées. Lorsque des invectives étaient proférées à l’encontre de camarades, dans leur dos. (...)