L’art pour l’art, disait Hugo en 1864, peut être beau, mais l’art pour le progrès est plus beau encore.
Encore plus d’art pour s’émanciper socialement et politiquement est sans doute ce qu’attend le public amoureux des arts, et même les artistes. Il serait inapproprié de vouloir scinder en deux catégories les arts, entre le beau et l’utile, entre les arts majeurs et les arts mineurs. Ici, nous voulons nous interroger avec les artistes sur les finalités de leur art. Certains artistes ne souhaitent pas (...)
L’art pour l’art, disait Hugo en 1864, peut être beau, mais l’art pour le progrès est plus beau encore.
Encore plus d’art pour s’émanciper socialement et politiquement est sans doute ce qu’attend le public amoureux des arts, et même les artistes. Il serait inapproprié de vouloir scinder en deux catégories les arts, entre le beau et l’utile, entre les arts majeurs et les arts mineurs. Ici, nous voulons nous interroger avec les artistes sur les finalités de leur art. Certains artistes ne souhaitent pas (...)