Avec, conservatoire compris, une quinzaine d’écoles de musique et de cours de chant privés, quatre harmonies et orchestres, quatre formations musicales scolaires, une douzaine de chœurs et chorales, en comptabilisant anciens élèves et spectateurs habituels, uniquement à Saint-Denis, on peut chiffrer à neuf mille personnes le public concerné par une musique dite « classique ». On peut doubler ce chiffre pour l’ensemble de l’île. Soit vingt mille.
A la recherche d’un second souffle après vingt ans de (...)
Avec, conservatoire compris, une quinzaine d’écoles de musique et de cours de chant privés, quatre harmonies et orchestres, quatre formations musicales scolaires, une douzaine de chœurs et chorales, en comptabilisant anciens élèves et spectateurs habituels, uniquement à Saint-Denis, on peut chiffrer à neuf mille personnes le public concerné par une musique dite « classique ». On peut doubler ce chiffre pour l’ensemble de l’île. Soit vingt mille.
A la recherche d’un second souffle après vingt ans de (...)