On peut bien-sûr comprendre que les célibataires, les homos (hommes ou femmes), et les couples stériles, souhaitent devenir autre chose, souhaitent élever un enfant, souhaitent connaître les joies d’être parent. Qui peut le leur reprocher, qui peut leur en vouloir pour cela, qui peut se permettre de juger que ces êtres-là ont ou n’ont pas droit, eux aussi, à la parentalité. La nature est beaucoup plus complexe que ce que nos esprits mesquins ou limités, peuvent comprendre. De plus, les humains ont (...)
On peut bien-sûr comprendre que les célibataires, les homos (hommes ou femmes), et les couples stériles, souhaitent devenir autre chose, souhaitent élever un enfant, souhaitent connaître les joies d’être parent. Qui peut le leur reprocher, qui peut leur en vouloir pour cela, qui peut se permettre de juger que ces êtres-là ont ou n’ont pas droit, eux aussi, à la parentalité. La nature est beaucoup plus complexe que ce que nos esprits mesquins ou limités, peuvent comprendre. De plus, les humains ont (...)