Témoignages - Journal fondé le 5 mai 1944
par le Dr Raymond Vergès

Cliquez et soutenez la candidature des Chagossiens au Prix Nobel de la Paix

Accueil > Politique > Actualités politiques

Le Conseil général annonce 4,5 millions d’euros pour les emplois d’avenir

Dans le cadre d’un plan de co-financement de 750 contrats

jeudi 25 avril 2013


Un total de 750 emplois d’avenir, financés ou cofinancés par le Conseil général, au bénéfice de la jeunesse réunionnaise soit un effort supplémentaire de 4,54 millions d’euros pour la collectivité. C’est la décision prise hier par la Commission permanente et annoncée à la presse.


Hier au Conseil général, la présentation du plan de co-financement de 750 emplois d’avenir, on reconnaît de gauche à droite : Philippe Leconstant, Henry Hippolyte, Bachil Valy, Pierre Vergès, Nassimah Dindar, Jean-Jacques Vlody, Ibrahim Dindar et Olivier Rivière.

La présidente du Conseil Général de La Réunion, Nassimah Dindar, a annoncé hier matin dans le cadre du mois départemental de l’insertion et de la Commission permanente dédiée, le lancement d’un plan de financement ou de cofinancement de 750 emplois d’avenir.

« Le dispositif des emplois d’avenir n’est pas optimal, mais a le mérite d’exister », indique le communiqué du Conseil général. « Malgré les difficultés budgétaires de la collectivité, la présidente, soucieuse de la dégradation de la situation de l’emploi des jeunes à La Réunion, a opté pour une intervention plus forte du Conseil général en passant des 250 emplois d’avenir initialement envisagés à 750 emplois d’avenir » .

Voici comment ils se décomposeront :

- financement de 250 emplois d’avenir au sein du Conseil général ; (100% du résiduel de salaire, charges comprises),

- cofinancement de 250 emplois d’avenir en faveur des ligues sportives, en particulier la ligue de football et en faveur de la culture par le biais des théâtres départementaux (prise en charge totale du résiduel) ; (100% du résiduel de salaire, charges comprises),

- cofinancement de 250 emplois d’avenir en faveur du secteur marchand (soit 35% du salaire brut pour le secteur marchand, à équivalence avec la part de l’État). Il restera alors 30% de salaire brut, les charges sociales et la formation à financer pour l’employeur.


Un message, un commentaire ?

signaler contenu


Facebook Twitter Linkedin Google plus