Depuis quelques semaines, des professeurs d’histoire du second degré (qui n’ont pas le titre de chercheurs) essaient, par leur pensée et à travers les médias, de remettre en cause, plus ou moins profondément, des faits considérés comme historiques qui ont construit La Réunion. Ces discours bien formulés, que tiennent ces “historiens” non spécialistes ou n’exerçant plus, visent à contester la réalité de crimes contre l’humanité, s’agissant ici tout particulièrement de la négation de la réalité de l’esclavage (...)
Depuis quelques semaines, des professeurs d’histoire du second degré (qui n’ont pas le titre de chercheurs) essaient, par leur pensée et à travers les médias, de remettre en cause, plus ou moins profondément, des faits considérés comme historiques qui ont construit La Réunion. Ces discours bien formulés, que tiennent ces “historiens” non spécialistes ou n’exerçant plus, visent à contester la réalité de crimes contre l’humanité, s’agissant ici tout particulièrement de la négation de la réalité de l’esclavage (...)