Dans temps « lontan », les facteurs avaient l’habitude de travailler au plus près de la population. Ils ont instauré ainsi une complicité et une convivialité exemplaires qui permettaient à la population d’avoir son courrier presqu’en mains propres, d’aider la population défavorisée — qui ne savait quelquefois ni lire ni écrire — à recevoir et à comprendre le contenu de son courrier. Nous pouvons, entre autres, citer comme exemple le facteur de Mafate, qui lisait et aidait à répondre au courrier, apportait (...)
Dans temps « lontan », les facteurs avaient l’habitude de travailler au plus près de la population. Ils ont instauré ainsi une complicité et une convivialité exemplaires qui permettaient à la population d’avoir son courrier presqu’en mains propres, d’aider la population défavorisée — qui ne savait quelquefois ni lire ni écrire — à recevoir et à comprendre le contenu de son courrier. Nous pouvons, entre autres, citer comme exemple le facteur de Mafate, qui lisait et aidait à répondre au courrier, apportait (...)