Un véhicule de police absurdement en patrouille dans une rue piétonne où l’on se presse pour les derniers achats de rentrée, au moment où 4.000 fidèles sortent de la mosquée, le premier vendredi de ramadan. Des passants bousculés, des policiers ombrageux qui cognent avant de parler, arrêtent sommairement un homme, sortent les tasers et arrosent la foule de lacrymogènes.
L’évènement a tout de la bavure ; mais il prend un sens bien plus profond en ces temps ou l’obsession sécuritaire s’impose sous la (...)
Un véhicule de police absurdement en patrouille dans une rue piétonne où l’on se presse pour les derniers achats de rentrée, au moment où 4.000 fidèles sortent de la mosquée, le premier vendredi de ramadan. Des passants bousculés, des policiers ombrageux qui cognent avant de parler, arrêtent sommairement un homme, sortent les tasers et arrosent la foule de lacrymogènes.
L’évènement a tout de la bavure ; mais il prend un sens bien plus profond en ces temps ou l’obsession sécuritaire s’impose sous la (...)