Le 8 juin 2011, sur les ondes de France Inter, M. Didier Robert déclare : enseigner le créole est « passéiste », « d’arrière-garde ». Très bien. Maintenant, M. Robert, je vous propose l’exercice suivant : dans cette proposition, remplacer « enseigner le créole » par « Didier Robert ». Cela donne, n’est-ce pas : « Didier Robert est passéiste, d’arrière-garde ». Si, moi, Emmanuel Miguet, je déclare ça, je m’expose à ce que l’on m’objecte : « Sans la moindre justification, le moindre argument, vos appréciations, M. (...)
Le 8 juin 2011, sur les ondes de France Inter, M. Didier Robert déclare : enseigner le créole est « passéiste », « d’arrière-garde ». Très bien. Maintenant, M. Robert, je vous propose l’exercice suivant : dans cette proposition, remplacer « enseigner le créole » par « Didier Robert ». Cela donne, n’est-ce pas : « Didier Robert est passéiste, d’arrière-garde ». Si, moi, Emmanuel Miguet, je déclare ça, je m’expose à ce que l’on m’objecte : « Sans la moindre justification, le moindre argument, vos appréciations, M. (...)