Que dirait Jésus si on lui demandait de se prononcer sur un projet de loi autorisant le mariage civil de deux personnes homosexuelles ? Il dirait sans doute : « rendez à César ce qui est à César », refusant de s’immiscer dans le gouvernement des affaires publiques, et renvoyant les édiles à leurs responsabilités.
Aujourd’hui, au nom de quoi les chrétiens imposeraient-ils leur vision à la République ? Nous ne sommes plus au temps de chrétienté, quand le Roi prétendait gouverner guidé par Dieu. (...)
Que dirait Jésus si on lui demandait de se prononcer sur un projet de loi autorisant le mariage civil de deux personnes homosexuelles ? Il dirait sans doute : « rendez à César ce qui est à César », refusant de s’immiscer dans le gouvernement des affaires publiques, et renvoyant les édiles à leurs responsabilités.
Aujourd’hui, au nom de quoi les chrétiens imposeraient-ils leur vision à la République ? Nous ne sommes plus au temps de chrétienté, quand le Roi prétendait gouverner guidé par Dieu. (...)