« La Convergence des consciences », le livre de Pierre Rabhi, m’a fait penser à une histoire de Robinson. Perdu sur une île déserte depuis des années, Robinson aperçoit une bouteille à la mer qui flotte, qui dérive.
Au comble de l’excitation, il part la pêcher, revient sur la berge, s’assoit sur le sable, débouche le flacon, déplie le parchemin et le lit. Il décide alors d’y répondre. Il écrit ceci :
« Figure-toi que quand je me suis réveillé ce matin, j’ai trouvé la mer toute brillante. J’ai cru à un (...)
« La Convergence des consciences », le livre de Pierre Rabhi, m’a fait penser à une histoire de Robinson. Perdu sur une île déserte depuis des années, Robinson aperçoit une bouteille à la mer qui flotte, qui dérive.
Au comble de l’excitation, il part la pêcher, revient sur la berge, s’assoit sur le sable, débouche le flacon, déplie le parchemin et le lit. Il décide alors d’y répondre. Il écrit ceci :
« Figure-toi que quand je me suis réveillé ce matin, j’ai trouvé la mer toute brillante. J’ai cru à un (...)