Jean-Jacques se plaît à faire des commentaires à voix basse à son enfant qu’il tient dans les bras sur ce qu’ils voient, ce qu’ils croisent. Il use de la redondance pour que la petite s’accapare le décor, prémisse à digression simples et fantaisistes qui réorganisent le réel en quelque chose de nouveau. Le fait observé devient pêche à la dérive. C’est une augmentation de la réalité. Il évite ainsi d’avoir à se baisser, et à hacher ses développements. L’arc-en-ciel là haut s’envole, on va s’y accrocher, (...)
Jean-Jacques se plaît à faire des commentaires à voix basse à son enfant qu’il tient dans les bras sur ce qu’ils voient, ce qu’ils croisent. Il use de la redondance pour que la petite s’accapare le décor, prémisse à digression simples et fantaisistes qui réorganisent le réel en quelque chose de nouveau. Le fait observé devient pêche à la dérive. C’est une augmentation de la réalité. Il évite ainsi d’avoir à se baisser, et à hacher ses développements. L’arc-en-ciel là haut s’envole, on va s’y accrocher, (...)