
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Côte Ouest
7 septembre 2009
Quatre baleines, dont au moins un baleineau, se sont livrées à un véritable ballet aquatique hier au large de Saint-Gilles. Au rythme des jets d’eau soufflés par leurs évents, les géantes des mers ont multiplié les sauts et les pirouettes. Le spectacle a duré plus de deux heures. Il aurait sans doute été plus long si des bateaux ne les avaient pas effrayés en s’approchant beaucoup trop près d’elles.
La visite des baleines hier a été interrompue par l’arrivée de bateaux trop proches. Visiblement choqués par le comportement des skippers de ses embarcations, des professionnels de la mer les ont sèchement rappelés à l’ordre. Mais les baleines avaient eu le temps d’avoir peur. Après quelques nouveaux sauts, elles ont fini par prendre la direction du grand large.
Une charte dite" d’approche des baleines" a pourtant été signée le lundi 22 mai 2009 entre la préfecture, la DIREN, des associations de protection et d’études des cétacés ainsi que par les différents professionnels de la mer – dont les clubs de plongée ou de jet-ski.
Ce document stipule un certain nombre de règles à observer au passage des baleines. Ne pas s’approcher d’elle à moins de 100 mètres en ayant le moteur à l’arrêt, ne pas leur couper la route, ne pas se mettre entre elles et le large, ne jamais les poursuivre, font notamment partie des ces règles de bonne conduite. Elles sont loin d’être respectées par tout le monde.
Pour la saison 2009, la charte n’a pas valeur contraignante puisqu’elle n’est "pas créatrice de droit". Néanmoins le préfet avait prévenu qu’il serait « réactif » en cas d’incident ou de débordement. Il n’hésitera pas alors à prendre un arrêté préfectoral interdisant totalement l’approche des baleines.
La mise en garde apposée chez beaucoup de professionnels de la mer signataires de la charte aura alors pris tout son sens : « à force de vouloir observer les baleines de plus près, on finira par ne plus les voir ».
Tous les ans, après un voyage de plus de 6.000 kilomètres depuis l’Antarctique, les baleines à bosse sont présentes aux larges des côtes réunionnaises de la mi-juin à la mi-octobre. Ayant fait des réserves de nourriture pour plusieurs mois au sud de l’Afrique du Sud, elles s’accouplent et mettent bas dans la chaleur de l’Océan Indien avant de retourner dans l’Antarctique avec leurs petits.
Environ 4.000 baleines migrent ainsi chaque année. Un flux remonte le long des côtes sud-africaines et un second prend la direction de Madagascar, Maurice et La Réunion.
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