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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Un accord possible à Bruxelles
9 février 2013
Les 27 chefs d’État, réunis à Bruxelles pour le Sommet européen, ont finalement abouti à un compromis de 960 milliards en engagements et 908,4 milliards en paiements. La confrontation aura duré plusieurs mois. Le précédent budget était de 975 milliards d’euros de crédit d’engagement, c’est une baisse de 15 milliards. Quant aux crédits de paiement, la diminution est de 17 milliards.
Après le dernier échec, le sommet des 7 et 8 février devait aboutir à une résolution, faute de quoi, l’ensemble des dirigeants aurait dû trouver un compromis à partir de l’exercice de 2013. Des heures de tractations auront été nécessaires pour trouver un compromis sur une enveloppe de dépenses.
Dans un contexte de crise, chaque dirigeant européen a défendu ses intérêts au cours d’une interminable nuit de négociation sur le budget de l’UE. Un accord semble se dessiner, a indiqué l’“Agence France Presse”. Au cours des discussions les intérêts traditionnels pour la France concernaient la politique agricole commune, pour le Royaume-Uni, le rabais annuel de 4 milliards d’euros dont il bénéficie sur sa contribution au budget commun, pour l’Allemagne, les fonds de cohésion destinés aux régions de l’ex-RDA.
Des rapports de force intenses
Le camp défendu par la France pourrait voir ses propositions être mises de côté. Souhaitant un euro fort et dynamiser la croissance, François Hollande a tenté de convaincre la chancelière allemande, Angela Merkel, de s’entendre sur un crédit d’engagement de 960 milliards d’euros et 913 milliards d’euros en crédits de paiements. Mais, le Premier ministre britannique David Cameron a ouvert les hostilités annonçant « combien il était disposé à payer et a voulu imposer l’élaboration du budget sur cette base ».
Depuis plusieurs semaines le Premier ministre britannique fait monter la pression sur l’intérêt de mettre en place des coupes drastiques dans le budget européen. Venus en renfort, Herman Van Rompuy, et Angela Merkel ont plaidé pour un budget de 905 milliards d’euros en paiements, « un montant adapté aux exigences de David Cameron », a noté l’“AFP”. De son côté, le chef du gouvernement italien Mario Monti s’est énervé « On ne peut pas accepter la logique d’un État dont nous ne savons pas s’il sera encore membre de l’UE en 2017 ».
Des coupes drastiques dans la Fonction publique
« Les négociations ont été très dures pour amener David Cameron à accepter de remonter ses prétentions sur les paiements. Cela s’est fait milliard par milliard, de 905 à 908,4, dernier chiffre accepté par le Premier ministre britannique » , a expliqué un négociateur à l’“AFP”. David Cameron et ses alliés souhaitaient limiter les paiements à 886 milliards, soit une hausse de 22,4 milliards par rapport aux prétentions initiales. Le Sommet a abouti à un compromis sur 960 milliards en engagements et 908,4 milliards en paiements. Le montant représente à peine 1% du PIB de l’UE, il devra être accepté par le Parlement européen, ce qui est n’est pas gagné.
Parmi les coupes souhaitées par le clan d’Angela Merkel, la diminution des salaires des fonctionnaires européens. Souhaité par le Royaume-Uni, les salaires des fonctionnaires représentent peur les Britanniques une « Europe trop dispendieuse et dont les agents vivent dans un monde parallèle ».
Le porte-parole du commissaire européen chargé de l’administration, Maros Sefcovic, a expliqué que contrairement à ce qui a été publié dans les médias allemands, les agents européens ne possèdent pas de revenu supérieur à celui de la chancelière allemande. Les salaires des 55.000 fonctionnaires européens (toutes institutions confondues) représentent 3% du budget de l’UE, a expliqué ce dernier. Soulignant la faible part des salaires dans l’ensemble des dépenses de l’UE, la Commission européenne, présidée par Manuel Barroso, souhaite qu’un « effort supplémentaire » soit réalisé. Parmi les autres efforts demandés, le Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD) pourrait voir sa subvention diminuer, au détriment des 13 millions d’Européens bénéficiant des colis alimentaires.
Céline Tabou
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