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Plan de Composition Générale présenté par la CCIR
19 mai 2009, par
Pour accueillir les 3 millions de passagers en 2025, et s’adapter à l’arrivée de l’Airbus A380 et du tram-train, l’aéroport Roland Garros doit prévoir dès maintenant les aménagements et l’espace nécessaires. La CCIR a présenté hier l’aéroport du futur.
A quoi ressemblera l’aéroport Roland Garros en 2025, à l’horizon de La Réunion du million d’habitants ? La CCIR, concessionnaire depuis 1965 de l’infrastructure, a présenté hier les aménagements nécessaires à l’aéroport du futur. Le Plan de Composition Générale de l’aéroport a été élaboré par la CCIR et ses partenaires (Préfecture, DDE, Aviation civile, Base aérienne 181, Conseil Régional, Mairie de Sainte-Marie, compagnies aériennes). « L’objet du plan de Composition Générale n’est pas de programmer dans le détail la réalisation des futures installations, mais de dessiner les tendances des extensions possibles et des déplacements », a précisé Bernard Lallemand, président de la commission aéroport et liaisons aériennes à la CCIR. Evaluation des coûts : 150 à 200 millions d’euros.
L’aéroport Roland Garros a en effet besoin de s’adapter une fois de plus à la croissance du trafic aérien, a expliqué Eric Magamootoo, président de la CCIR. « L’aéroport a su s’adapter à la formidable augmentation du trafic aérien à partir des années 80, quand le ciel de notre île s’est ouvert à la concurrence. Une piste longue a été construite, elle permet depuis quinze ans des vols sans escale entre La Réunion et la métropole. Notre aérogare passagers s’est régulièrement agrandie, une nouvelle aérogare fret a vu le jour. Mais déjà, nous sentons, aux heures de pointe, qu’il nous faut préparer à pousser les murs, une nouvelle fois ».
Arrivée de l’Airbus A380 et du tram-train
En 2025, l’aéroport Roland Garros devrait accueillir 3 millions de passagers par an, le double du trafic actuel. Les aménagements se feraient progressivement dès 2010, en trois étapes.
De 2010 à 2015, il s’agira de remédier à la saturation de l’aérogare en période de pointe et à préparer l’arrivée des deux Airbus A380, avions de grande capacité. Les pistes seront élargies de 45 à 60 mètres en 2012, l’aérogare passagers va s’étendre de 3.000 mètres carrés vers le Sud et de 12.000 mètres carrés vers l’Ouest. La capacité des parkings va être doublée, de 800 à 1.600 places. L’aéroport devra s’adapter à la mise en service du tram-train. « La station Roland Garros du tram-train s’implantera au niveau des sorties actuelles du parking, un cheminement piéton protégé la reliera à l’aérogare. Un passage souterrain ou un autopont pour les véhicules légers est envisagé aux croisements de la ligne ferroviaire et du trafic routier ». Le centre de maintenance d’Air Austral sera équipé de hangars et aires de stationnement supplémentaires. Les compagnies d’hélicoptères disposeront d’un espace réservé à l’extrémité Est des installations.
Trois millions de passagers
De 2015 à 2020, l’aéroport devrait franchir la barre des 2 millions de passagers. L’aérogare passagers est étendu vers l’Est, l’aménagement des parkings se poursuit. Une nouvelle tour de contrôle est construite dans le prolongement Est de l’aérogare. Le bâtiment des pompiers, le poste de contrôle d’accès aux pistes y sont déplacés. Un nouvel opérateur de service des plateaux repas et de nettoyage des avions pourrait voir le jour. Les logements de fonction situés au Sud-Ouest sont déplacés dans les quartiers proches de l’aéroport et l’espace devrait accueillir des commerces, services, et activités para-aéronautiques.
De 2020 à 2025, la surface de l’aérogare couvrira 45.000 mètres carrés au lieu de 18.000 en 2009. Une nouvelle extension de l’aérogare va permettre d’accueillir les 3 millions de passagers. « Elle prendra la forme d’une jetée avançant sur le front des installations, dans la partie Est de l’aérogare ». Pour augmenter la capacité de stockage de carburants, le dépôt sera déplacé de la base aérienne à l’extrémité Sud-Est du domaine aéroportuaire.
La CCIR reste concessionnaire de l’aéroport jusqu’en 2013. Au-delà, une société aéroportuaire composé de l’Etat, la CCIR et les collectivités devrait prendre le relais.
EP
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