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Air France répond à French Bee, que feront Air Austral et Corsair ?
3 septembre 2020, par
Air France a décidé de répondre à la mise en ligne du quatrième Airbus A350-900 de French Bee. Aux 500 euros annoncés par French Bee pour un aller-retour La Réunion-Paris, Air France répond par un tarif de 388 euros pour toute réservation prise avant le 6 septembre. Corsair et Air Austral vont-elles aussi aligner leurs tarifs à la baisse ? Cette guerre des prix ne risque-t-elle pas d’accentuer les difficultés de compagnies qui n’ont pas un modèle low-cost, ou qui n’ont pas l’État parmi leurs actionnaires ?
Après la période de la fin des vacances, les compagnies aériennes sont face au défi de remplir leurs avions dans un contexte de crise sanitaire. Présent récemment à La Réunion, le PDG de French Bee a annoncé une baisse des prix. French Bee a désormais une flotte intégralement composée d’Airbus A350-900. Cet avion consomme moins de carburant que son concurrent Boeing 777-300. French Bee peut donc passer à la vitesse de croisière et annoncer des billets d’avion à moins de 500 euros l’aller-retour entre La Réunion et la France.
Air France ne compte pas se laisser faire sur cette desserte. Elle lance un tarif promotionnel pour tout billet d’avion acheté avant le 6 septembre : 388 euros l’aller-retour entre La Réunion et Paris, le retour pouvant se dérouler jusqu’au 25 juin.
A la différence de French Bee, Air France fait voler sur la ligne des avions d’ancienne génération qui ont un coût d’utilisation plus élevé. C’est donc une guerre des prix qui s’annonce.
Deux autres compagnies sont positionnées sur cette ligne : Corsair et Air Austral. Pour Air Austral, l’affaire est très sérieuse car c’est cette ligne qui constitue la majorité de son trafic et de son chiffre d’affaires. De plus, les restrictions de voyage sont maintenues vers toutes les autres destinations d’Air Austral sauf Mayotte. Cela signifie que cette guerre des prix intervient sur la ligne essentielle d’Air Austral. La compagnie réunionnaise aura-t-elle les moyens de s’aligner sur ces prix sans hypothéquer l’avenir ?
Voici une nouvelle illustration des conséquences d’une décision stratégique : le choix d’abandonner le projet de low-cost long courrier conçu en partenariat avec Airbus. Ceci aurait permis à la compagnie réunionnaise d’avoir les moyens structurels de mieux résister à n’importe quelle guerre des prix lancée par Air France.
M.M.
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