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22 novembre 2022
"Il est temps d’arrêter le +quoi qu’il en coûte+", a lancé le Fonds monétaire international (FMI), qui pointe du doigt les milliards déboursés pour soulager les entreprises et les ménages de la crise énergétique. Pour l’institution internationale, la France doit commencer dès 2023 à assainir ses finances. Une recommandation qui risque de se faire sentir auprès des collectivités locales, qui devront elles aussi contribuer à l’effort national.
"Nous avons soutenu le quoi qu’il en coûte, mais il est temps" d’y mettre un terme, a estimé Jeffrey Franks, chef de mission du FMI pour la France, lors d’une conférence de presse. Ce dernier a évoqué les dépenses concernant le gel prix de l’électricité et du gaz, des chèques énergétiques, des remises sur les prix du carburants, un soutien aux entreprises... instaurées depuis un an, et évaluées par le FMI à plus de 2% de son PIB.
Les initiatives du gouvernement ont permis de contenir le taux d’inflation "deux à trois points" en dessous du niveau qu’il aurait atteint sans mesures d’aide, a assuré Jeffrey Franks. Mais ces dépenses exceptionnelles pèsent sur les finances publiques a avertit qui assure qu’elles étaient déjà très dégradées par la pandémie de Covid-19.
Période durant laquelle le gouvernement a notamment financé le chômage partiel et les fermetures de commerces au titre du "quoi qu’il en coûte". Les crises passées, et les aides terminées, "il est justifié de commencer la consolidation budgétaire en 2023", a écrit le FMI dans les conclusions d’une mission d’évaluation économique de la France, connue sous le nom d’"article IV".
Or ce n’est pas le chemin que prend Paris, a relevé l’institution de Washington. Le gouvernement français prévoit un déficit public de 5% en 2023 après 4,9% cette année. La France ne devrait revenir sous la barre des 3% qu’en 2027, là où ses voisins européens envisagent un retour plus rapide à ce niveau.
"Nous avons arrêté le quoi qu’il en coûte", s’est défendu Bruno Le Maire, le 21 novembre. Il a assuré sur BFMYV que pour les ménages comme pour les entreprises, "le ciblage sera la règle en matière d’aides de l’Etat en 2023".
De son côté, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a indiqué qu’"aujourd’hui, le quoi qu’il en coûte ne serait ni finançable ni efficace". Ce dernier a indiqué qu’"on a déjà beaucoup de dette publique" (environ 113% fin juin 2022), a-t-il soutenu sur France 5. "Quand on augmente encore la dette, c’est une façon de transférer la facture aux générations suivantes."
Dans son rapport, le FMI a estimé la croissance 2023 de la France à 0,7%, une estimation qui "confirme" pour Bruno Le Maire "la résistance de l’économie française".
"C’est une très bonne nouvelle", a assuré le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal. Ce dernier a évoqué l’estimation de la Banque de France, qui s’attend à une croissance comprise entre -0,5% et 0,8% en 2023.
Toutefois, le FMI craint aussi "un léger creusement du déficit" en 2023, avec notamment la prolongation des mesures énergétiques et la poursuite de la suppression d’impôts de production pour les entreprises.
Pour le Fonds, un ciblage des aides en matière énergétique pourrait "en grande partie" permettre un resserrement budgétaire d’un quart de point de PIB. Raison pour laquelle, l’institution préconise un report des réductions d’impôts de production, la réduction de la dépense publique et in fine du déficit, via les réformes des retraites et de l’assurance chômage, ainsi que la réduction des niches fiscales.
En matière d’assurance chômage, le ministre du Travail Olivier Dussopt a justement annoncé lundi aux partenaires sociaux la baisse de 25% de la durée d’indemnisation des demandeurs d’emploi à partir du 1er février.
Jeffrey Franks a insisté sur la nécessité de "clarifier qui s’occupe de quoi" entre gouvernement et collectivités locales, afin d’éviter la "duplication des dépenses entre gouvernement central et gouvernements locaux".
A long terme, le déficit français devrait rester au-dessus du niveau auquel il stabilise la dette, s’est inquiété le FMI, qui appelle donc à "un ajustement soutenu" pour ramener le déficit à 0,4% du PIB d’ici à 2030 en s’appuyant sur la réduction de la croissance des dépenses courantes, notamment celles liées à la pandémie et à la crise énergétique.
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