
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
16 novembre 2022
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, a mis en garde les dirigeants du G20 à laisser le protectionnisme "prendre racine" et a averti qu’une fragmentation de l’économie mondiale en blocs géopolitiques freinerait la croissance.
Une allusion au découplage engagé par certaines puissances occidentales envers la Chine. Dans un discours qu’elle devait prononcer devant les chefs d’Etat et de gouvernement du Groupe des 20 réunis en Indonésie, Kristalina Georgieva a souligné que 345 millions de personnes dans le monde souffraient d’une crise alimentaire provoquée par la guerre en Ukraine, une inflation élevée et des désastres climatiques.
Elle a ajouté que les pays du G20 devaient "permettre au commerce international de faire son travail". "La suppression de barrières douanières, notamment pour les produits alimentaires et les engrais, peut faire beaucoup pour soulager la souffrance de centaines de millions de personnes", a-t-elle dit.
"Nous ne devons pas permettre au protectionnisme de prendre racine et au monde de s’acheminer vers des blocs séparés", a-t-elle indiqué. Selon le FMI, la division du monde en "blocs" économiques, avec par exemple d’un côté les États-Unis et leurs alliés et d’un autre la Chine et d’autres économies dirigistes, pourrait freiner la croissance annuelle moyenne de l’économie mondiale de 1,5 point de pourcentage.
"Et le prix à payer serait bien plus élevé, deux fois plus élevé ou davantage, pour les économies ouvertes, celles qui dépendent de la coopération internationale", a souligné Kristalina Georgieva.
Cette dernière veut éviter la division afin de prévenir "une marche à l’aveuglette vers un monde plus pauvre et moins sûr", a-t-elle poursuivi. La directrice générale du FMI a aussi renouvelé son appel aux puissances du G20 en faveur d’un allègement de la dette des pays plus pauvres affectés par les retombées de la pandémie de COVID-19, de la guerre en Ukraine et de l’inflation.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)