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Avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie
7 septembre 2023
Six mois après les dernières rencontres organisées à Paris et après la venue d’Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie cet été, un nouveau cycle d’échange sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie s’ouvre.
La trilatérale est très attendue, car le dernier référendum sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie a eu lieu en 2021. Depuis, le gouvernement n’est pas parvenu à réunir indépendantistes et non indépendantistes autour d’une même table.
Or les délégations calédoniennes sont à Paris jusqu’au 8 septembre pour débattre. Cependant, à la suite d’une réunion le 4 septembre à Paris, la délégation indépendantiste avait laissé entendre une possible ouverture de discussions sur "un certain nombre de sujets pour nous rapprocher de part et d’autre". "On est encore dans des expressions parallèles" a nuancé Gilbert Tyuienon, pour qui "cette semaine parisienne est en quelque sorte un aboutissement des discussions en bilatérales avec l’État".
Le ministère de l’Intérieur a mentionné sur ses invitations qu’une "réunion avec l’ensemble des délégations politiques" avaient eu lieu le 6 septembre. "Mercredi, ils tentent une trilatérale", a confirmé Virginie Ruffenach, l’une des membres de la délégation non indépendantiste.
En avril dernier, le gouvernement avait déjà tenté de mettre tout le monde autour de la table, sans réussir à renouer le dialogue avec les indépendantistes. Durant la journée du 5 septembre, des rencontres bilatérales ont eu lieu entre les délégations et les conseillers des différents ministres qui suivent le dossier.
Pour le FLNKS, la séquence parisienne n’est pas forcément l’occasion d’entamer une discussion entre toutes les parties. Interrogé par NC la 1ère le 29 août dernier, Roch Wamytan, élu de l’Union calédonienne, a dit espérer revenir de Paris avec "des éléments" pour rédiger un rapport qui servira à la préparation des congrès des partis qui compose le FLNKS.
"On en a marre de l’inertie, le troisième référendum a eu lieu il y a 20 mois, on en est à la 7e séquence avec le gouvernement. On voit bien que les indépendantistes jouent la montre, mais il faut avancer. L’État doit prendre les choses en main", a déclaré Virginie Ruffenach, du Rassemblement-les Républicains.
Les prochaines élections provinciales doivent se tenir en mai 2024, or en Nouvelle-Calédonie, le corps électoral a été gelé en 1998. De fait, des milliers de personnes résidant en Nouvelle-Calédonie n’ont pas la citoyenneté calédonienne et ne peuvent pas voter lors des élections provinciales, qui déterminent la composition du Congrès et du gouvernement local.
Pour les non indépendantistes, les élections ne peuvent pas se tenir sans une modification du corps électoral, ce qui signifie une modification de la Constitution, ce que souhaite également le gouvernement. En mars dernier, Gérald Darmanin assurait que "nous tiendrons les élections à l’heure en mai 2024 avec un corps électoral qui sera modifié".
Mais pour le parti Calédonie Ensemble, une autre force représentée au sein de la délégation non indépendantiste, rien ne presse. Dans une lettre adressée à la Première ministre, le sénateur Gérard Poadja, le député Philippe Dunoyer et l’ancien député Philippe Gomès, affirment chercher "un consensus".
Ils se sont dits prêts à se donner du temps pour le trouver, y compris s’il faut décaler les élections provinciales. "Cette échéance démocratique ne constitue par ‘un horizon indépassable’. L’important, au bout de 35 années, n’est pas de tenir les élections ‘à l’heure’, mais d’être à l’heure de l’Histoire". Pour les signataires de la lettre, ce n’est que si aucun accord n’était trouvé d’ici la fin de l’année que l’État aurait à "prendre les mesures unilatérales nécessaires", ont-ils écrit. "Nous n’en sommes pas là", ont ajouté les signataires.
Dans un courrier adressé à Élisabeth Borne, la délégation Les Loyalistes, dénoncent les "atermoiements" des indépendantistes, et demandent à l’État, en cas d’absence de trilatérales, de communiquer d’ici le 9 septembre sur le calendrier d’adoption de la réforme constitutionnelle annoncée pour début 2024 et sur le texte qui serait soumis au Parlement.
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