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Trois questions à Sophie Robert
3 juillet 2014
Vous êtes la réalisatrice de "Quelque chose de plus", pourquoi avoir choisi de faire un film sur l’ABA ?
– L’ABA est nouveau en France, mais elle est utilisée depuis des décennies dans d’autres pays. La France a un retard de 50 ans en matière de prise en charge de l’autisme, et l’ABA fait face à d’importantes résistances de la part de psychanalystes et de psychiatres.
Le film explique les fondamentaux de la prise en charge. Avec le plaisir de la motivation, on peut amener des enfants lourdement handicapés très loin.
"Le Mur" est un de vos films qui a suscité un grand débat en France. Comment l’expliquer ?
– C’est en réalisant "Le Mur" que je me suis intéressée à l’autisme. A l’origine, je voulais faire un documentaire sur la psychanalyse qui a beaucoup d’importance en France. C’est d’ailleurs particulier car elle a commencé à s’imposer en France au moment où elle s’est effondrée ailleurs.
Je voulais faire un état des lieux de la théorie, et faire s’exprimer des psychanalystes. Pendant 4 ans, 52 ont été interrogés. Il faut avoir à l’esprit que ces spécialistes ont un double langage, avec les profanes et avec les initiés. C’est à ce second niveau que j’ai pu avoir accès lors du tournage, et j’ai été très étonnée par un certain fondamentalisme autour des théories de la psychanalyse, avec des répercussions sur la prise en charge de l’autisme.
Selon eux, si une personne a des problèmes dans la vie, c’est à cause de l’influence maternelle. L’autisme apparaît alors comme le pire du pire.
Ce film a mis au jour ce langage qui est encore largement répandu et qui provoque des drames. "Le Mur" a permis une prise de conscience.
Après "le Mur" qui expliquait les manquements graves, il était logique que je m’intéresse à la solution. C’est de là que vient l’idée de "Quelque chose de plus" qui montre ce qu’est l’ABA, appliquée dans l’établissement présidé par Gélita Hoarau.
Quelles sont les réactions autour de "Quelque chose de plus" ?
- "Quelque chose de plus" a été parrainé par Mme Carlotti, ministre en charge des personnes handicapées. C’est un film qui suscite beaucoup d’enthousiasme. L’ABA ouvre un cycle vertueux, avec des progrès pour les enfants qui en bénéficient. Car au lieu d’organiser des conférences avec des personnes qui témoignent, il est possible de voir concrètement le résultat de cette prise en charge avec les images des enfants.
Ce film est distribué dans toute la France et ailleurs. Si une association souhaite projeter le film, il suffit qu’elle puisse avoir une salle, et nous lui envoyons le film.
Tous les films peuvent être regardés sur internet : http://dragonbleutv.com |
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