
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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23 janvier 2013
es partenaires doivent être en parfait accord dans tous les domaines de leur vie de couple. Leurs engagements sur des rapports extérieurs ne souffriront d’aucune ambigüité. Les situations gênantes seront évitées pour que des occasions de vies parallèles trouvent raisons et justifications. Elles peuvent être incluses au fonctionnement du couple ou marginales.
Beaucoup d’individus dans le monde, dont un grand nombre d’hommes, reconnaissent à l’évidence que le mariage n’est plus de mode. Vu qu’à l’intérieur d’un même genre, il existe des différences et des inégalités de pensée et de conception de la vie, il est impossible de faire vivre sous le sceau du mariage deux êtres quel que soit le sexe sans admettre que l’un soit dominé par l’autre, que l’un soit malheureux en mariage que l’autre. En quelque sorte, l’état de mutisme d’un des partenaires pourrait être assimilé à l’esclavage.
Or, nous devons nous battre pour l’égalité en droit et dans les faits pour tous. Nombreuses statistiques confirment l’augmentation du taux de divorce dans le mariage que celle de rupture de vie en couple. Alfred Capus fait partie de ceux qui soutiennent l’idée que le mariage n’est plus de nature à assurer la paix dans les couples. Sa magnificence est désacralisée. Ceux qui n’ont pas encore tenté l’expérience brûlent cependant l’envie d’y entrer alors que ceux qui y ont subi la réalité de son objet ont hâte de s’en sortir. On souhaite un peu partout aujourd’hui plus de prudence par rapport à cette attirance aveugle de cet acte parfois regrettable. Certains Espagnols en viennent à mener une analogie, en présentant le mariage comme le drap qui ne se choisit à la chandelle.
Il ne suffit pas d’être amoureux pour décider de se marier. Le mariage est une chose d’un étage plus avancé qu’il faut mûrir et lui laisser du temps et beaucoup de temps pour le consommer. Ce proverbe polonais n’est peut-être pas anodin : « Si tu vas en guerre, prie une fois, si tu vas en mer, prie deux fois, si tu vas en mariage, prie trois fois ». Le fait qu’il assigne des degrés divers de prière montre certainement les contraintes plus grandes du mariage auquel on doit se préparer à affronter. C’est sans doute une aventure pour deux êtres aimants, mais qui, malgré tout, ont des visions et des buts différents du mariage. Le seul sentiment éprouvé ne suffit pas à se convaincre amoureux ou aimé, il en faut beaucoup plus et loin de tout ce qui a porté au départ au projet. Dans le mariage, tout est prouvé et plus de place à la création, tout est à la reproduction et à la récréation. On peut être encore mieux en couple, qui est un stade de vie de partage sans ce souci d’embrigadement.
S’il peut y avoir mariage sans amour, il peut aussi y avoir amour sans mariage. Et dans ce cas, on peut tout de même être heureux en couple sans passer par ce chemin. Voltaire voit en le mariage « le plus grand des maux ou des biens ». Et A. Loisel soutient l’idée quand il cite : « les mariages se font au ciel et se consomment sur terre ». Les idées des uns et des autres éclairent les inconditionnels du contrat, qui doivent de temps en temps avoir pieds sur terre et ne pas se laisser séduire par l’idée de la sécurité que procure le mariage. On n’oublie pas qu’il n’est pas si délicieux qu’on pouvait le penser. Il peut être l’acte par lequel se révèlent les incompatibilités longtemps cachées dans le couple. Il peut dans ce cas faire chavirer toute une vie. Les Anglais comparent facilement les mariages à des pendaisons qui se font par destinée.
On doit respecter le mariage tant qu’il n’est qu’un purgatoire
Du couple à l’acte d’officialisation du mariage, il y a un grand virage à négocier. On a les yeux ouverts avant le mariage, et clos ou mis ouverts lorsqu’il est concrétisé. La société peut comprendre la réserve des femmes comme des hommes qui ne souhaitent pas entrer dans un système de soumission inadapté à la liberté individuelle. Censé, par l’acte de mariage, unir deux êtres libres, il fait entrer directement en enfer sans passer par le purgatoire.
Bienvenu H. Diogo
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