
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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16 septembre 2013
Avec 29,1% le taux de chômage de Bras-Panon est assez proche de celui de La Réunion. Ceci veut dire qu’il y a un très grand nombre de demandeurs d’emploi à Bras-Panon. En effet, depuis plusieurs années, le territoire a été en berne de toute évolution économique et ce n’est que peu de temps que l’on observe son éveil à une potentielle création d’activité, notamment, par le biais de l’installation de sa zone franche.
Cependant avec ses 678 entreprises implantées sur le territoire qui compte 11.865 habitants, on ne peut que penser que tout reste à faire en matière de création d’activité. Aussi Bras-Panon n’a donc pas aujourd’hui le potentiel à satisfaire ses demandeurs d’emploi. Par ailleurs, la ville s’inscrit au bassin Est de la zone d’emploi de La Réunion, la population panonnaise n’est pas la mieux fournie en matière d’offres d’emploi.
En effet, selon une enquête de Pôle Emploi, sur 18.900 projets d’embauche déclarés pour 2013 le Bassin Ouest totalise : 5.150 soit (+17%) par rapport à 2012, le Bassin Sud : 6.000 (+18%), le Bassin Est : 2.450 (+2%) et le Bassin Nord : 5.300 (+13%). Enfin, pour accentuer cette problématique déjà bien engagée, Bras-Panon ne répond pas à l’appel de ses demandeurs d’emploi en matière d’infrastructure d’accompagnement dans la recherche d’emploi. Pas de Pôle Emploi, pas de maison de proximité, qui offriraient à sa population un outil qui lui facilite ses recherches actives et qui correspondent à ses attentes et à ses besoins. Aussi, on propose en matière de création d’emploi :
- la mise en place de deux grands services de proximité, dans le domaine de l’environnement et dans le service à la personne où des milliers d’emplois sont à envisager ;
- une structure de proximité qui aura pour objectifs l’accueil, le conseil, l’aide et l’accompagnement du demandeur d’emploi.
Les « gramounes » sont incontestablement les personnes ressources de notre pays Plus d’1 Réunionnais sur 10 a plus de 60 ans. À Bras-Panon, cela représente plus de 1.000 seniors. Les « gramounes » sont incontestablement les personnes ressources de notre pays, de notre territoire. Mais bien souvent, parce qu’ils ont atteint un certain âge, on ne se préoccupe plus d’eux, on a d’autres priorités. On est tourné vers l’avenir comme on dit, et les personnes âgées représentent le passé. Pourtant, savoir où l’on va c’est, dit-on savoir d’où l’on vient. En d’autres termes, notre histoire prend bien vie à nos racines ancestrales. Les valeurs que nous inculquent nos aïeuls sont des valeurs qui ne sont pas monnayables et encore moins remplaçables. Devant les bouleversements de notre société qui parfois nous font prendre conscience de la rapide disparition de nos cultures, qui nous fait penser que nous nous éloignons de nos repères, de nos savoirs-faires ancestraux et qui sont rappelés dans de véritables boîtes à souvenirs, présentés dans des « villages lontan », des écomusées ; nous ne devons pas perdre de vue que le passé n’a jamais été aussi présent dans notre vie et qu’il nous faut savoir nous recentrer sur notre parcours personnel. C’est pourquoi la place des personnes âgées dans la société et dans notre vie ne doit jamais restée inoccupée. On propose une véritable prise en compte du chemin parcouru avec nos personnes âgées et pour nos personnes âgées et une perspective faite de notre cheminement personnel qui s’ouvre sur le monde. Nous proposons : - la mise en œuvre d’un grand chantier sur la place de nos personnes âgées dans la société, mettre en place un outil de communication afin de rapporter et de sauvegarder les plans d’histoires de nos « gramounes ». |
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