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Une constante depuis le BUMIDOM
23 juin 2017
Une étude publiée hier par l’INSEE souligne que La Réunion est une terre d’émigration, avec 11.400 départs par an contre 10.300 arrivées. Parmi les immigrants, 3.000 personnes sont natives de La Réunion et y reviennent. Ce nombre important de départs a commencé dans les années 1960 avec le BUMIDOM. La tendance reste donc toujours la même pour faire de La Réunion une terre d’émigration. Voici un communiqué de l’INSEE donnant les chiffres principaux de cette étude.
Chaque année, entre 2012 et 2016, 11 400 personnes en moyenne partent de La Réunion pour s’installer en métropole et 10 300 personnes font le chemin inverse et arrivent sur l’île. Parmi ces nouveaux arrivants, 3 000 sont nés à La Réunion et y reviennent.
Ces flux migratoires font partie des plus faibles des régions françaises, à l’exception des étudiants. Leur propension au départ se situe dans la moyenne nationale, mais à un rang inférieur aux Antilles. Chaque année, 2 200 étudiants, majeurs et titulaires d’un baccalauréat au moins, partent pour la métropole.
Le solde migratoire est négatif à La Réunion uniquement pour les jeunes âgés de 15 à 24 ans. Il est nul ou légèrement positif aux autres âges.
Les flux migratoires des actifs sont de faible ampleur à La Réunion. Chaque année, seulement 5 900 actifs arrivent sur le territoire et 5 100 le quittent. La Réunion est ainsi l’une des régions les moins attractives de France pour les actifs. Ceux qui arrivent sur l’île ont un niveau de formation élevé et occupent souvent des emplois qualifiés. Toutefois, la proportion de cadres à La Réunion reste bien inférieure au niveau national. La moitié des actifs qui partent pour la métropole choisissent une région du sud de la France, là où l’insertion sur le marché du travail est pourtant très difficile.
Les Réunionnais de naissance sont peu enclins à la mobilité. Chaque année 1 800 actifs nés à La Réunion partent vers la métropole, soit un taux de sortie de 6 ‰. Il est nettement inférieur à la moyenne des régions françaises (9 ‰). En sens inverse, 1 700 actifs natifs sont de retour sur l’île, dotés d’un niveau de formation généralement élevé.
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