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Fonds international de développement agricole des Nations Unies s’investit
19 février 2021
Le sort des pays du monde les plus pauvres et les plus riches sont indissolublement liés et il sera impossible d’éradiquer la pauvreté et la faim sans mettre en œuvre de manière urgente et ciblée une coopération internationale pour un développement sur le long terme, ont déclaré les dirigeants mondiaux lors de l’ouverture de la réunion annuelle du Conseil des gouverneurs du Fonds international de développement agricole des Nations Unies (FIDA), le 17 février.
Communiqué de presse - "La pandémie de COVID-19 et la crise climatique devraient faire comprendre à tous – riches et pauvres, faibles ou puissants – que leurs destins sont liés. Nous allons périr ou survivre ensemble", a déclaré Imran Khan, Premier Ministre du Pakistan, aux représentants des 177 États membres du FIDA. "Nous avons besoin d’un plan et d’une stratégie en commun pour une reprise à l’échelle mondiale et pour la survie et la prospérité de toute l’humanité".
Soulignant les ravages économiques profonds et à long terme que la pandémie provoque actuellement dans les pays à faible revenu où la pauvreté et la faim augmentent, João Manuel Gonçalves Lourenço, Président de l’Angola, a comparé les défis qui attendaient son pays à ceux de la période qu’il a traversée après la guerre civile.
"La coopération internationale, tant bilatérale qu’avec les organisations de développement, a été cruciale dans les difficultés de la reconstruction d’après-guerre et elle reste nécessaire pour qu’ensemble nous puissions faire face aux effets des crises qui nous attendent", a-t-il déclaré.
Selon ces deux dirigeants, on ne pourra lutter contre l’augmentation des fléaux de la faim et de la pauvreté dans le monde que dans le cadre de partenariats mondiaux et par des investissements à long terme plus importants en faveur des populations rurales qui produisent une grande partie de la nourriture dans le monde, mais qui sont souvent celles qui souffrent le plus de ces deux fléaux.
Gilbert F. Houngbo (image ci-dessous), qui a été reconduit aujourd’hui à la présidence du FIDA pour un second mandat, a déclaré dans son discours d’ouverture que les organisations internationales et les partenaires gouvernementaux doivent repenser la nature des systèmes alimentaires, souvent vecteurs de davantage d’inégalités, de pauvreté et de faim.
"Ma conviction reste aujourd’hui intacte. Nous pouvons réaliser un monde plus juste et plus équitable, un monde sans pauvreté abjecte, un monde sans faim", a-t-il déclaré. "Mais la pandémie et les effets des changements climatiques nous obligent à repenser profondément notre manière de produire et de nous alimenter."
Annonçant un accroissement significatif de l’engagement financier de l’Italie, en destinant 84 millions d’euros aux activités du FIDA pour les trois prochaines années, Luigi Di Maio, Ministre italien des affaires étrangères et de la coopération internationale, a déclaré que "garantir le droit à l’alimentation est un impératif moral".
"Nous avons besoin de ressources adéquates et suffisantes pour intervenir sur le terrain, pour investir dans les économies rurales, dans la sécurité alimentaire, dans l’accès à l’alimentation et dans des cycles de production durables", a-t-il ajouté.
Réduire les importations de denrées alimentaires et garantir un approvisionnement durable en denrées alimentaires produites localement est essentiel pour un pays comme l’Angola, qui dépend du pétrole, a déclaré le Président Lourenço, et cela ne peut se faire qu’en redynamisant et en développant la production agricole locale. Cela nécessite notamment de réhabiliter les routes d’accès et d’assurer l’approvisionnement en eau dans les zones rurales.
Le Premier Ministre Khan a souligné l’importance d’investir dans des modalités opératoires et des infrastructures agricoles durables d’un point de vue écologique qui garantissent une utilisation efficace de l’eau et des terres, et de "produire notre nourriture dans un plus grand respect de la nature".
Cette idée a été reprise par le ministre Di Maio qui a déclaré : "Je crois que la priorité accordée à la durabilité environnementale doit rapprocher les principales économies du monde, dans une harmonisation de la reconstruction post-pandémie et d’une ambitieuse action climatique".
Une personne sur dix dans le monde a faim. On prévoit que 132 millions de personnes supplémentaires pourraient encore souffrir de la faim suite aux impacts socio-économiques de la pandémie de COVID-19. L’extrême pauvreté risque également d’augmenter, pour la première fois depuis plusieurs décennies.
La croissance économique dans l’agriculture est deux à trois fois plus efficace pour réduire la pauvreté que celle générée dans tout autre secteur. Des investissements à long terme dans un développement rural et durable sur le plan écologique peuvent permettre aux petits exploitants agricoles pauvres d’augmenter leur production alimentaire et de créer des emplois, ce qui stimule les économies locales et nationales et crée des sociétés plus stables et plus prospères.
La 44ème session du Conseil des gouverneurs est une réunion de deux jours sur le thème : Le développement rural, condition indispensable à la résilience mondiale.
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