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Année internationale de la jeunesse
4 octobre 2010
La jeunesse, c’est 18% de la population mondiale et donc l’espoir de l’avenir. Mais ce sont aussi des jeunes touchés par une crise économique sans précédent. Lors de sa conférence de presse hier, l’Alliance de la jeunesse pour la formation et l’emploi à La Réunion (AJFER) a présenté les enjeux mondiaux de l’Année internationale de la jeunesse.
Le 12 août dernier a eu lieu la journée internationale de la jeunesse. C’est à ce moment que s’est lancée l’Année Internationale de la Jeunesse. Initiée par l’Organisation des Nations Unies, elle a pour thème principal, « le dialogue et la compréhension mutuelle », le tout sous le slogan « notre année, notre voix ». Entendre la voix des jeunes est primordiale d’autant que nous avons la puissance démographique.
Aujourd’hui, la jeunesse représente 18% de la population mondiale soit 1,2 milliard d’individus. Elle est donc à ce titre, une ressource humaine considérable pour le développement, le progrès social et l’innovation technologique.
La volonté de consacrer une année à la jeunesse n’est pas le fruit du hasard. Elle découle d’une situation, d’un contexte difficile et d’un futur qu’il convient obligatoirement de préparer.
La situation sociale et économique que l’on traverse aujourd’hui est sans précédent. Elle a des impacts considérables sur les jeunes partout dans le monde :
- Perte d’emploi
- Difficultés pour en trouver ou en retrouver un
- Réduction des chances de faire des études
- Augmentation de la précarité
En août dernier, à l’ouverture de l’Année Internationale de la Jeunesse, l’Organisation Internationale du Travail a présenté un dramatique rapport faisant état de 81 millions de jeunes sans emploi sur 620 millions de jeunes actifs, soit un chiffre jamais atteint auparavant. L’OIT a même qualifié cette génération touchée de plein fouet par le chômage de "génération perdue".
« Nous pouvons changer les choses »
En organisant cette Année Internationale de la Jeunesse, l’ONU a voulu encourager les jeunes à poursuivre leur engagement en leur donnant la possibilité d’être acteurs du changement. Certains y contribuent déjà en participant à la lutte contre la pauvreté et la faim, en sensibilisant les gens sur la propagation du virus du SIDA, en favorisant la promotion de la protection de l’environnement mais il est nécessaire que l’on se mobilise tous ensemble pour faire avancer les choses.
« Passer de la marginalisation à la mobilisation »
« Il est indéniable qu’aujourd’hui notre motivation, notre vision du monde, nos idées mais surtout notre énergie sont essentiels dans le développement de la société dans laquelle nous vivons », indique l’AJFER, « il ne faut pas oublier que nous représentons la génération future et que nous devons nous battre pour un avenir meilleur ».
Le secrétaire général de l’ONU Mr Ban Ki-Moon le dit lui-même : « il faut reconnaître et célébrer ce que la jeunesse peut apporter à l’avènement d’un monde plus sur et plus juste. Il faut donc faire une place aux jeunes dans le processus de décision, dans les politiques et dans les programmes qui préparent leur avenir et le nôtre ».
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