
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Pas de hausse le 1er octobre
13 septembre 2014, par
Après avoir annoncé le report de la revalorisation des retraites comprises entre le minimum vieillesse et 1200 euros par mois pour cause de difficulté à appliquer le plan d’économies dans ce secteur, c’est la faible inflation qui est devenu le nouveau prétexte pour sanctionner les retraités.
Dans la loi de financement rectificative de la Sécurité sociale votée en avril, le gouvernement avait initialement prévu le gel des retraites. Lors du débat parlementaire, il avait concédé le dégel au 1er octobre de celles inférieures à 1200 euros par mois. Mais au début du mois, l’annonce est faite que cette concession ne sera pas respectée. C’est la complexité du système qui est pointée du doigt. En effet, nombreux sont les retraités qui perçoivent des pensions de différentes caisses. Dans ses conditions, difficile de connaître précisément de connaître le montant total perçu par chacun afin de situer ce revenu par rapport au seuil de 1200 euros.
En conséquence, au lieu de revaloriser pour tout le monde, le gouvernement a décidé de geler pour tout le monde, à l’exception des retraités touchant le minimum vieillesse.
Coup de tonnerre hier, c’est maintenant la faible inflation qui est mise en avant pour justifier le gel des retraites. Le prétexte initial est passé à la trappe mais la sanction est la même. Les retraités qui ont réussi à cotiser suffisamment pour gagner au-dessus du revenu minimum n’auront aucune augmentation.
Dans les pays européens touchés par la crise, les retraités sont les premières victimes des mesures d’austérité. Cette catégorie est vulnérable car elle ne peut pas faire grève, et elle ne constitue pas le gros des troupes lors des manifestations. La France applique la même méthode qu’en Grèce.
Rappelons que quand la crise continue, la catégorie suivante visée par le pouvoir est celle des fonctionnaires. Ainsi en Grèce ou en Espagne, les salaires ont baissé.
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