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Projet de loi sur les retraites au Sénat
31 octobre 2013
Hier au Sénat, les élus ont modifié le texte adopté en première lecture par les députés. Ainsi, les sénateurs ont supprimé l’article qui impose les 43 ans de cotisation pour avoir droit à une retraite décente. Paul Vergès a voté pour la suppression des 43 ans mais Michel Vergoz s’est illustré en prenant la défense du gouvernement, plutôt que des Réunionnais.
Le 15 octobre dernier, les députés ont adopté un projet de loi qui interdit à la majorité des Réunionnais le droit à une retraite décente. Le texte prévoit de repousser à 43 ans le nombre d’années de cotisation nécessaire.
Dans le contexte de La Réunion, quel travailleur du secteur privé peut-il prétendre atteindre 43 ans d’emploi ?
C’est pourquoi la défense de l’intérêt des Réunionnais impose le rejet de ce texte.
Lors du vote en première lecture à l’Assemblée nationale, le projet a été adopté de 10 voix. Il aurait fallu que 5 députés aient un vote contraire pour tout remettre en cause, mais 5 des 7 députés de La Réunion ont voté pour : Ericka Bareigts, Monique Orphé, Jean-Claude Fruteau, Patrick Lebreton et Jean-Jacques Vlody. Parce qu’ils ont été solidaires du gouvernement et pas des Réunionnais, ils ont fait pencher la balance du mauvais côté. Il leur restera le vote solennel pour se corriger, le feront-ils ?
En attendant, le Sénat a commencé à examiner le projet de loi adopté par les députés. La suppression de l’allongement de la durée de cotisation à 43 ans a été actée. Dans les rangs réunionnais, tous les sénateurs ont voté contre les 43 ans, sauf le socialiste Michel Vergoz. Il sera candidat aux municipales. Donc les électeurs de Sainte-Rose doivent savoir qu’il est contre le droit à une retraite pour la majorité des travailleurs du secteur privé.
Quelques instants plus tard, les sénateurs ont aussi supprimé une disposition permettant de retarder de 6 mois la revalorisation annuelle des pensions. Paul Vergès et presque tous les sénateurs de La Réunion ont voté pour la suppression de cette mesure, Michel Vergoz a voté contre.
En tout état de cause, le projet de loi sera profondément modifié par les sénateurs. Pour notre île, il sera expurgé de la disposition la plus injuste, le minimum de 43 années de cotisation. À la différence des députés, les sénateurs, sauf Vergoz, ont été sensibles à leur devoir de solidarité envers les Réunionnais. Ils redonnent un espoir aux travailleurs du privé. Leur exemple sera-t-il suivi par les députés de La Réunion ?
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