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La Réunion face à la concurrence des pays voisins
23 juin 2016
Paul Vergès a écrit au secrétaire d’État aux Affaires européennes au sujet des Accords de partenariat économique qui prévoient une libéralisation des échanges entre les départements d’outre-mer, dont La Réunion, et leurs voisins. A la question « quel est l’avenir de l’économie de La Réunion, face aux importations de produits européens et de ceux fabriqués chez ses voisins, et à un coût défiant toute concurrence ? », la réponse du membre du gouvernement est bien évasive ce qui nourrit les inquiétudes. Dans un communiqué publié hier, Paul Vergès précise le contenu des échanges.
Le Sénateur Paul Vergès a écrit au Secrétaire d’Etat chargé des Affaires Européennes, Harlem Désir, sur la question des Accords de Partenariat Economique (APE). Le groupe CRC, dans lequel siège le Sénateur Vergès, a également interpellé le Secrétaire d’Etat sur cette question.
La réponse du Secrétaire d’Etat – tant au courrier que lors du débat - n’apporte aucune réponse concrète.
La principale question est celle-ci : « quel est l’avenir de l’économie de La Réunion, face aux importations de produits européens et de ceux fabriqués chez ses voisins, et à un coût défiant toute concurrence ? ».
Donc, clairement, quel est le contenu des accords déjà signés, et ceux qui sont en passe de l’être. La réponse de Harlem Désir fait état de « certaines lignes tarifaires correspondant à des produits sensibles », qui ne seront pas libéralisées immédiatement. Quelles sont ces lignes tarifaires ? Aucune réponse, pas plus dans le courrier que dans l’intervention orale. Pourtant, c’est bien là le cœur du problème.
Concernant la concertation, l’annonce de Harlem Désir est surprenante : en effet, il affirme que le gouvernement va continuer « à travailler en étroite concertation avec les Régions et Départements d’outre-mer dans le cadre des négociations commerciales impliquant la zone océan Indien ».
De deux choses l’une : soit le gouvernement exagère quant aux modalités de concertation mises en place avec les collectivités réunionnaises ; soit celles-ci n’ont pas partagé les informations avec les élus et la population.
Enfin, dans la réponse orale, le Secrétaire d’Etat affirme même que « ces accords peuvent leur être bénéfiques, ils pourraient exporter une partie de leur production, notamment de canne et de banane, vers les pays Afrique Caraïbe Pacifique ».
L’avenir économique de La Réunion passerait donc par une exportation de cannes vers Maurice… On ne peut qu’être profondément dubitatif.
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