« Annulez l’opération "UWAMBUSHU" »
« La seule solution, c’est le dialogue »
Un véritable drame humain.
Illustrons par le cas de Charif Mohamed, du Centre culturel Imam Shafi, de Saint-Denis : « Les Comoriens de Mayotte ne sont pas des clandestins. Ils sont chez eux à Mayotte comme à Anjouan, Mohéli ou la Grande Comore » commence-t-il, bouleversé.
« Ma mère est Mahoraise et mon père est de la Grande Comore. Quand je suis à Mayotte, je suis chez moi. Et si mon frère – qui a le même père que moi, dans notre culture polygame – vient me rendre visite, il peut le (…)