Les ’sans papiers’ intégrés dans l’économie mahoraise

Des milliers d’Anjouanais vivent parfois depuis des années à Mayotte en situation irrégulière. C’est en kwassas kwassas, d’incertaines barques de pêche, qu’ils effectuent la très dangereuse traversée entre les deux îles. À Mayotte, pour des appointements inférieurs au salaire minimum local (647 euros), ils sont employés clandestinement par des Mahorais ou des Métropolitains. La place qu’ils occupent dans le fonctionnement de l’économie locale semble fondamentale. "Les forces vives de Mayotte (…)

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