Une procédure trop spéciale pour être bien nette

Le 4 juillet 2001, Maurice Gironcel et son premier adjoint Sylvain Mounigan se sont donc retrouvés placés en garde-à-vue à la demande du juge d’instruction Thomas Pison. Les reproches formulés à l’encontre des deux élus s’étalaient aussitôt dans la presse : « favoritisme, prise illégale d’intérêt, tentative de corruption passive, détournement de fonds publics, faux et usage de faux avec circonstance aggravante ». Et la presse de préciser : « dans le cadre de la passation de plusieurs (…)

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