’Ceux qui aiment ne meurent jamais’

En mars 1915, André, commandant des troupes françaises en Champagne, est fauché sur le champ de bataille par une rafale de mitraillette ennemie. Grièvement blessé, il agonise huit jours durant dans un hôpital de campagne. Au même moment, à Paris, Albert, son fils, est victime d’une étrange langueur. Faute de pouvoir identifier l’origine du mal, le médecin de famille en est réduit à avancer des hypothèses. L’une retient l’attention de ses proches : Albert vivrait à distance l’agonie de son (…)

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