Pourquoi ?
Dans le “Quotidien” d’hier mercredi, en page 13, sous le titre "La gratuité et ses limites", le confrère éditorialiste - à propos des cantines scolaires de la région parisienne qui ont adopté la gratuité - tend à démontrer, après des circonvolutions cérébrales, que la gratuité contient des "effets pervers". Ainsi, « l’égalité des chances, effectivement, écrit-il, passe par l’égalité devant l’alimentation. Mais l’égalité des chances, c’est faire en sorte que les riches payent plus pour que (…)