Koudkongn de Raymond Mollard

Trop d’ouverture, c’est la déchirure...

On s’attendait au cérémonial convenu des passations de pouvoir, on a eu droit à une superproduction style “Star-Ac à l’Elysée” pleine de paillettes, de glamour, de people, de bons sentiments servis à la louche par une armée de domestiques de la plume et du micro, la plupart encartés chez Bouygues ou émargeant chez Lagardère, dévoués corps, âme, et portefeuille à leurs stations émettrices, lesquelles fabriquent de l’opinion publique aussi efficacement que les stations d’épuration (…)

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