L’Île Maurice : une terre d’édition méconnue - 3 -
En interne, la vente des livres importés, dopée par l’absence de droits de douane, représente 55% du chiffre d’affaires des librairies mauriciennes (34) et concurrence fortement les ouvrages édités localement. C’est en particulier le cas des ouvrages anglophones (remises de 70% en moyenne du fait de leur tirage et leur origine, Inde, Singapour...) (35).
Il est difficile d’évaluer en pourcentage le nombre de touristes achetant des livres mauriciens dans les librairies de l’île. Le marché des (…)