En ce 8 mars, pensons à :
En 2008, on lapide encore une femme accusée d’adultère,
On défigure à l’acide une jeune fille considérée comme trop libérée,
On brûle celle qui ne procrée pas un enfant mâle,
On mutile sexuellement des petites filles pour perpétuer une tradition barbare et sexiste.
Maintenant, tout le monde parle du 8 mars, Journée internationale des Femmes, alors que pendant des années, nous, militantes UFR, avons été les seules à célébrer dignement cette Journée par des défilés et des prises de parole. (…)