L’ancien dictateur d’Anjouan relaxé en première instance attend l’examen de sa demande d’asile politique
Mohamed Bacar dans une base militaire de l’armée française
Un vice de forme a permis à Mohamed Bacar, dictateur déchu d’Anjouan, et ses 22 complices de ressortir du tribunal de Saint-Denis samedi sans être jugés.
Au début de l’audience, la défense soulève un motif de nullité de la procédure à l’encontre de Mohamed Bacar et de sa garde rapprochée. Ils sont en effet jugés pour entrée illégale sur le territoire de la République française et importation d’armes de guerre.
C’est la prolongation injustifiée de la garde à vue qui est invoquée. Car ce (…)