« L’impunité d’un dictateur donne naissance à plusieurs autres »
Les auteurs des viols, des actes de torture, des assassinants et des portés disparus, des actes d’extorsion de fonds, des exils forcés, de la corruption et du détournement des deniers publics commis à Anjouan ne seront jamais jugés. A ainsi décidé la France. En effet, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a accordé l’asile politique à deux collaborateurs du colonel Bacar, et l’a refusé à six autres qui ont commis des actes graves qui les excluent du bénéfice du (…)