Le monde a faim (suite)
Je n’ai pas pour habitude de citer Gilbert Aubry, et pourtant, lorsqu’une pensée ou une phrase me paraît juste, je ne peux passer à côté. C’est donc avec cette phrase qui peut sembler sibylline, mais ô combien chargée de sens, que je poursuis ma réflexion sur la décroissance raisonnée. L’évêque de La Réunion, lors d’une cérémonie dimanche dernier, a déclaré : « L’Homme doit retourner aux fondamentaux. Il faut redécouvrir le simple, la sobriété, le partage, ce qui fait l’essentiel de la vie, (…)