Billet
Les institutions françaises donnent le mauvais exemple
En refusant aux institutions comoriennes le droit de jouer leur rôle face à l’entreprise de déstabilisation menée par Mohamed Bacar à Anjouan, le gouvernement français avoue son implication dans les affaires intérieures des Comores. Jusqu’à jeudi, il était encore permis d’avoir des doutes sur l’aide apportée par les autorités françaises au “dictateur” et à ses sbires dans leur fuite vers Mayotte. Les raisons invoquées pour le refus de l’extradition sonnent comme un aveu.
De plus, le (…)