Les ’regrets’ des gendarmes
Michel Séraphine et Théo Hilarion.
(photo Imaz press Réunion)
Après la plaidoirie de la partie civile et les réquisitions de l’avocat général, le matin, après les plaidoiries de la défense, le président a donné la parole aux accusés. Ces derniers se sont adressés, tous les deux, à Théo Hilarion :
« Vos cauchemars, je les partage » - a commencé Alain Michelot. « Votre douleur, je la ressens. Je vous remercie pour votre dignité et j’espère que, des vérités qui ont pu être dites, vous (…)