De l’autre côté du micro, on interroge les exposants, bien sûr toujours plus mitigés et beaucoup moins optimistes : « moins de monde que d’habitude... des promeneurs sans portes monnaie... difficultés pour se garer... une filière sinistrée qu’il faudra absolument subventionner... », et autres complaintes extraites du célèbre best seller : « C’était mieux avant ». D’habitude, c’est toujours comme ça, sauf au Tampon. Là, notre dynamique maire s’est occupé de tout, de la préparation jusqu’au (…)