Nos peines
Madame Raymond, nout vié kamarad, la kit anou
Née aux Avirons, sa famille était venue vivre et travailler au Port alors qu’elle était encore très jeune. Elle-même, mère de sept enfants dont deux sont aujourd’hui disparus, a connu une vie de travail et d’effort. Elle a entretenu les tombes pour les familles des défunts durant de longues années, dans le cimetière marin tout proche de sa petite case de la rue Jauréguibéri. Puis elle a travaillé jusqu’à sa retraite dans une école maternelle du Port, l’école André Hoarau à la SIDR.
Très (…)