Ce qui a été dit mercredi à Saint-Denis dépasse l’entendement
Tes diplômes, moricaud !
Pourtant pour avoir reproduit des articles de la presse parisienne relatant les exactions commises à Paris, le 17 octobre 1961, sous l’autorité de Maurice Papon à l’encontre des manifestants algériens désarmés, Paul Vergès fut condamné à de la prison ferme et à la déchéance de ses responsabilités électives et de ses droits civiques.
Pour ma part, il m’a déjà été donné d’entendre proférer de grosses bêtises dans l’enceinte d’un tribunal. À Saint-Pierre, en audience publique, un substitut a (…)