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À 20 heures 05 sur Canal plus Réunion : ’Le S.A.C, des hommes dans l’ombre’
6 décembre 2005
Téléfilm historique de Thomas Vincent, avec Tcheky Kario, Simon Abkarian, Bernard Le Coq...
S.A.C. Trois lettres qui font froid dans le dos. Mais qui peut dire exactement de quoi il s’agit ? Officine gaulliste. Service d’ordre. Police parallèle. L’opacité du S.A.C. a nourri tous les fantasmes durant des décennies et la tuerie d’Auriol, qui a précipité la chute du mouvement en 1981, n’a fait qu’alimenter le mythe. Le Service d’action civique a pourtant été une réalité qui a assis à la même table truands, politiques et policiers. Des hommes aux convictions élastiques, aux intérêts souvent divergents, mais qui partageaient une haine maladive des communistes.
Le téléfilm que nous verrons ce soir nous fait revenir dans un passé pas si lointain où des barbouzes régnaient en maîtres sur la politique et la police, ils avaient une carte quasi officielle, barrée de tricolore sur trois lettres "S.A.C", service tout puissant dédié corps et âme à leur maître Charles De Gaulle, mais le S.A.C. qu’est ce que c’était exactement ? Créé en 1959, par d’anciens membres du service d’ordre du RPF (le parti gaulliste), le S.A.C. (Service d’action civique) était une organisation destinée, comme indiquée sur la carte de membre "à apporter inconditionnellement son soutien à la poursuite des objectifs définis par le Général de Gaulle". Mais nul désormais ne peut ignorer que ce service était dédié à la lutte contre le communisme, oubliée la lutte côte à côte entre communistes et gaullistes, oublié le conseil national de la résistance, revenu au pouvoir en 1958. Le général oublie et le service d’action civique devient une officine anticommuniste. Il est à noter que l’un des plus célèbres membres du S.A.C. fut Charles Pasqua, il a même été dit, bien que ce dernier s’en défende, qu’il en aurait été l’un des cofondateurs. Ce soir dans ce téléfilm, on découvrira que la république de De Gaulle n’était pas aussi exemplaire malgré ce que certains voudraient bien nous faire croire, alors plongeons pendant 1 heure 30 dans les poubelles du gaullisme.
Philippe Tesseron
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