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À 20 heures 05 sur Télé Réunion
13 septembre 2007
Série française réalisée par Philippe Setbon. Avec : Philippe Bas, Audrey Lunati, Maxime Leroux, Farida Rahouadj.
Gravement blessé à la suite d’une intervention, Matthias Grecowski dit "Greco", capitaine à la Crim’, est plongé dans un coma de plusieurs semaines. A son réveil, il est hanté par des visions étranges, des sensations effrayantes. Une personne inconnue se manifeste à lui avant de disparaître. Perd-il la raison ? Greco enquête sur cette “apparition”. Il découvre qu’il est revenu de son coma avec un don : celui de communiquer avec les morts. L’homme venu le visiter chez lui n’est que le premier d’une longue série. Des personnes disparues, ou censées s’être donné la mort et qui ne désirent qu’une chose : qu’on les arrache à l’oubli, qu’on leur rende justice.
Une jeune femme, Tina, et son bébé apparaissent à Greco. Tina est censée s’être suicidée après avoir accidentellement provoqué la mort de son enfant. Que s’est-il réellement passé ?
Votre soirée Télé
J’ai la nette impression que la saison 2007/2008 à la Télé sera faite de mystères ou ne « sera pas », pour paraphraser André Malraux ! Votre serviteur, devant la page blanche de son écran et devant son clavier, a aussi la nette impression qu’il doit jouer le rôle de Zorro télévisuel à chaque fois qu’une nouvelle série fantastique fait son apparition à la télévision. Si cela continue, vous allez finir par croire que je n’aime que la science-fiction ! Eh bien, non ! C’est que, voyez-vous, depuis le temps que l’on se voit diffuser des fictions policières, avec en toile de fond des histoires plus ou moins occultes, on finit par s’y intéresser, et puis après tout, la science-fiction finit toujours par être dépassée un jour ou l’autre, du moins en partie ! La série "Gréco" est passée inaperçue sur la grille des programmes. Précédée par la réputation de la série "Prison Break", elle n’a pas la critique positive qu’elle mérite. Mais je reviendrai dans un prochain "Focus" sur les séries de ce genre, pour le moment, continuons à survoler la soirée qui va être riche. Pour les amateurs de grandes fresques "hollywoodiennes", ils vont pouvoir se régaler avec la diffusion du film américain aux 11 oscars "Titanic" ! Mais le moment le plus intéressant de cette soirée télévisuelle, c’est sur Tempo qu’il avoir lieu, avec la diffusion du téléfilm de Denys Granier-Deferre "93 Rue Lauriston". En effet, des œuvres comme "Titanic" ont largement été distribuées en DVD, tandis que le téléfilm que nous propose Tempo mérite bien plus d’attention.
Le film que l’on peut regarder
Comme je vous l’ai dit plus haut, le film "Titanic", bien que grandiose et s’il mérite que l’on s’y attarde, n’est pas l’événement de cette soirée devant l’aquarium, mais on ne peut nier qu’il va bénéficier d’un large public. "Titanic", à sa sortie, a été affublé de tous les grands superlatifs : « Le film le plus grand de l’histoire du cinéma », « La plus belle histoire d’amour au cinéma", "Le film aux 11 oscars », etc, etc ... Il est vrai que "Titanic" a rejoint "Ben-Hur" (sorti en 1959) dans le club très fermé des films aux 11 oscars, est-ce cela qui en fait le plus grand film de tous les temps ? Je vous laisse juges ! Mais la diffusion de cette œuvre ce soir sur Antenne Réunion, on ne pouvait pas faire comme si... Alors oui, je pense que c’est un bon film, à condition d’aimer les histoires à l’eau de rose sur fond de catastrophe. Le scénario est légèrement teinté de lutte des classes comme savent si bien en parler les Américains. Juste ce qu’il faut pour amener la larme à l’œil et pour se donner bonne conscience, surtout qu’en la matière, pour les citoyens des USA, ce serait plutôt l’application de la maxime stricto sensu : « Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais » ! Que dire d’autre sur "Titanic" sinon que les deux principaux rôles sont admirablement bien joués, mais que l’histoire en elle-même ne vaut pas trois cacahuètes, même grillées !
Focus Télé !
Je vous ai longuement parlé du Téléfilm "93 rue Lauriston" de Denys Granier-Deferre lors de sa programmation sur Canal Plus, regrettant que seuls les abonnés à cette chaîne cryptée puissent avoir accès à l’œuvre. Eh bien, comme tout arrive à qui sait attendre, ce téléfilm déboule sur Tempo, et en clair, cette fois, enfin presque, car comme chacun le sait désormais, une heure à regarder le second canal de RFO donne droit à un passage quasi obligé chez l’ophtalmo ! Mais cela est une autre histoire. Revenons-en donc à cet évènement télévisuel qu’est la diffusion de "93 rue Lauriston" au scénario puisé dans l’histoire toute récente de notre pays. L’histoire de la police française sous l’Occupation est toujours délicate à traiter, et Denys Granier-Deferre a su s’en tirer brillamment en nous servant une reconstitution assez exacte de ce qui s’est passé à cette triste adresse. Inspiré de faits réels, "93 rue Lauriston", qui désigne le QG de la Gestapo française pendant la Seconde Guerre mondiale, nous raconte l’histoire de voyous qui, pour la plupart, ont profité de "l’aubaine" de l’occupation allemande pour se refaire une virginité dans les services d’une partie de la police française, inféodée au gouvernement de Vichy, mais surtout aux ordres des occupants nazis. Le film commence en 1944 par l’arrestation, puis l’exécution des deux chefs de la rue tristement célèbre Henri Lafont (Daniel Russo) et son bras droit Pierre Bony (Christian Charmetant). C’est l’occasion d’un retour dans le passé et des crimes commis par les gestapistes (meurtres, tortures, perquisitions, vols d’objets d’art aux juifs, chasse aux patriotes...). Le téléfilm est construit comme un retour en arrière. Michel Blanc interprète l’inspecteur qui tombe sur le dos de ces deux anciens gestapistes. Il va reconstituer les heures sombres de la rue Lauriston et ainsi nous faire découvrir que la police allemande s’est surtout appuyée sur des gangsters pour créer cette police à sa botte. Un petit rappel tout de même : sans vouloir honorer un quelconque code de l’honneur des gens du milieu, il faut reconnaître que si bon nombre de ces voyous ont servi l’occupant en étant parfois bien plus cruels que les gestapistes allemands, il y eut également quelques malfrats qui, par amour de leur patrie, choisirent la résistance. Peut être est-ce anecdotique, mais cela mérite toujours d’être souligné ! Bien que certains critiques aient vu un parallèle dans l’histoire d’amour d’un des protagonistes, "93 rue Lauriston" est véritablement très éloigné du film de Louis Malle "Lacombe Lucien". Je ne peux, bien entendu, que vous recommander ce téléfilm qui est une réussite et qui atteint le but fixé : raconter que les occupants allemands ont employé, tout comme au Moyen âge les rois employaient des mercenaires sans foi ni loi pour asseoir leurs dictatures. Sauf que cela s’est passé il y a à peine plus de 60 ans, au 20ème siècle !
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