
Kèl volonté zénéral ! In pé la boir kossa !
30 juin, parMézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
À 20 heures 05 sur Tempo : ’Thalassa’
17 mars 2006
Un magazine de Georges Pernoud. Préparé par Philippe Vilamitjana.
Au sommaire : "À la folie... passionnément". Dans le Golfe de Gascogne, des pêcheurs y ont cru. La fortune semblait leur sourire. La pêche à l’anchois dépassait leurs espérances et l’avenir paraissait assuré. Et puis, plus rien ! Les filets remontent quasiment à vide et c’est toute une activité économique qui s’effondre, entraînant avec elle son lot de drames humains...
En Amérique du Nord, on les appelle les "snowbirds". Une appellation très officielle pour les retraités migrateurs qui fuient la rigueur de l’hiver pour des climats plus chauds. En France, l’eldorado hivernal s’appelle le Maghreb, et le Maroc en particulier.
"Les côtes d’Europe vues du ciel". "Les ondes du Gulf Stream (Scilly et Cornouailles)". En Cornouailles britannique, les éléments se déchaînent souvent contre la nature et les Hommes, qui ne peuvent compter que sur un Gulf Stream clément.
"Carnet de voyage à San Francisco". Sur la côte ouest des États-Unis, à la découverte de San Francisco, la ville de tous les possibles. Au-delà du rêve californien, Loïc Etévenard livre une présentation très personnelle de ce port ouvert sur le Pacifique.
"La pêche au baron". À Mayotte, un petit territoire français à l’entrée du canal du Mozambique, Jacques Pass et Pierre Bobet ont eu une drôle d’idée. Tous les deux passionnés par la plongée, repoussant sans cesse les limites pour se faire plaisir, ils ont inventé un ingénieux système pour plonger et chasser des gros poissons dans le grand bleu... et ça marche !!!
De San Francisco à Mayotte en passant par le Golfe de Gascogne, Georges Pernoud nous fait faire le grand écart et va nous faire découvrir de nombreuses activités qui découlent de la passion des hommes pour ces grandes étendues d’eau que l’on appelle océans. Décidément le magazine de la mer est le rendez-vous incontournable de nos soirées du vendredi et ceci pour notre plus grand bonheur. Il est vrai que "Thalassa" est une véritable réussite audiovisuelle, c’est le premier magazine consacré uniquement à la mer et notre île devrait être intéressée au premier chef par cette émission, mais voilà, il y a quelque temps, Georges Pernoud se sentant bien inspiré, a décidé de débarquer ses caméras sur le bateau Réunion ancré dans l’Océan Indien et la surprise fut de taille ! Après avoir rencontré quelques olibrius et sans même prendre de précautions, notre spécialiste de la mer a fait de notre île un portrait au vitriol, complètement décalé par rapport à la réalité. Je crois avoir fréquenté assez de pays côtiers et d’îles, pour dire que c’était la première fois que Georges Pernoud marchait à côté de ses bottes. Pourquoi je reviens sur cette triste affaire, c’est que voyez-vous, "Thalassa", j’aime bien ! Mais surtout c’est que je me suis rendu compte que c’est à partir de cette émission que tout a commencé à aller à veau l’eau, entre requins mangeurs d’Hommes, chiens appâts, vieux racistes ressortis des poubelles de l’histoire etc. Notre île s’est vue montrée du doigt comme une terre pestiférée. Alors si par hasard cette chronique venait à tomber entre les mains de Georges Pernoud, j’aimerais qu’il sache toute la souffrance qu’ont éprouvé les Réunionnais après avoir vu ces reportages éhontés et faux. Je ne veux pas dire que c’est de la faute de cette émission ratée si le chikungunya est apparu chez nous, mais depuis, le mauvais sort s’abat sur La Réunion. S’il voulait bien nous prouver que la solidarité des gens de mer n’est pas un vain mot, s’il voulait refaire le tour de notre île meurtrie par des "ladi lafé" et refaire une émission, en consultant cette fois les vrais amoureux de La Réunion, alors peut-être, pourrions-nous lui accorder notre pardon. Il nous ferait plus qu’un don d’argent, en nous faisant le don d’images positives et réalistes à un moment où nous en avons tellement besoin.
PH. T.
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