
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Emploi
Le Collectif "Emplois en danger" interpelle les ministres
10 mai 2003
Au moment où l’Éducation nationale est mobilisée, tant pour s’opposer à la décentralisation - telle que proposée par le gouvernement, avec le transfert d’une partie des personnels techniques, administratif et de santé -, ou sur la question de la réforme du système de retraite, il y a une autre menace grave qui pèse sur l’école : la suppression programmée des aides éducateurs, ces contrats emploi-jeune (C.E.J.) qui travaillent depuis cinq ans, tant dans les maternelles que dans le primaire, au collège que dans les lycées.
Ces aides éducateurs n’ont, aujourd’hui, comme perspective, que le chômage. En effet, si des pistes ont été soulevées pour les jeunes travaillant dans les collectivités locales ou les associations (notamment la convention pluriannuelle ou l’épargne consolidée), la seule "alternative" (si l’on peut employer ce mot), pour les aides éducateurs aurait pu être les postes d’assistant d’éducation. Et il est tout à fait clair, depuis l’adoption de la loi par l’Assemblée nationale et le Sénat, que ces postes ne sont pas destinés aux aides éducateurs, puisque concernant quasi essentiellement, les jeunes suivant une formation à l’université ou dans des structures équivalentes.
Par ailleurs, ces aides éducateurs réunionnais n’entrent pas dans le cadre des missions confiées à la MAPREJ (Mission d’appui à la pérennisation et au reclassement des emplois-jeunes), qui s’occupe uniquement des jeunes employés par les collectivités locales et les associations. Ce n’est pas un refus de sa part, mais simplement l’application de directives gouvernementales.
Et c’est bien au gouvernement, pourtant, que revient l’obligation de pérenniser les postes occupés par ces aides éducateurs, puisqu’ils sont employés par l’Éducation nationale. Mais rien ne bouge. C’est pour ces raisons que le collectif "Emplois en danger" a interpellé, mercredi, les ministres de l’Éducation nationale (Luc Ferry) et de l’Outre-mer (Brigitte Girardin), pour leur demander une « prorogation des aides éducateurs ».
Dans ce courrier, le Collectif rappelle « la situation préoccupante des emplois-jeunes de l’Éducation nationale » à La Réunion, où ce seront « 1.832 jeunes officiant dans les écoles, collèges et lycées » qui vont se retrouver au chômage et pour près de 600 d’entre eux, dès la fin juin 2003.
Le Collectif rappelle que « lors de la venue dans notre île de Mme Brigitte Girardin, la ministre de l’Outre-mer, elle nous avait assurés que "aucun jeune ne restera sur le bord du chemin". C’est dans cette optique et dans l’urgence que nous vous demandons de proroger tous les contrats de ces aides éducateurs, le temps de trouver une solution durable ».
Devant l’inquiétude, sans cesse croissante, des jeunes, il y a donc urgence, d’où la demande du Collectif d’une réponse très rapide. Vendredi soir, aucun communiqué, aucune lettre, aucun message n’était encore parvenu au Collectif.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)